Découvrez le test de Fabien, client Dafy, sur la gamme de gilets airbag In&motion !
Motard depuis plus de 20 ans, je vis sans voiture et ne me déplace qu’à deux-roues, avec ou sans moteur. J’habite dans les Alpes et roule toute l’année. Sur route et en tout-terrain, avec souvent de longs trajets où je passe la journée entière sur la route. Étant basé à côté d’Annecy, c’est à moi que Dafy a fait appel pour essayer pendant plusieurs semaines la gamme de gilets airbag équipés de la technologie d’une entreprise haute-savoyarde : In&motion.
In&motion : une technologie française
In&motion est une « jeune pousse » française, une start-up cofondée par trois ingénieurs. La marque a bien grandi depuis plus de dix ans, car elle comporte aujourd’hui, plus de 90 employés. Au départ spécialisée dans la protection des skieurs, elle s’est vite diversifiée vers le marché motard, puis dans l’équitation. Je précise que j’ai connu et utilisé les gilets airbag filaires à la fin des années 2000. Bien avant la création même d’In&motion en 2014, j’ai suivi la création du premier gilet airbag moto de cette entreprise en 2017 et 2018. Aujourd’hui, je roule régulièrement depuis 2020 avec un gilet airbag autonome (sans fil) d’un de leurs concurrents italiens.
Fonctionnement et partenaires
Il faut bien comprendre que cette entreprise, implantée à Cran-Gevrier, dans un parc d’activités en banlieue d’Annecy, conçoit et fabrique l’équipement technique pour des gilets airbag, mais pas les vêtements eux-mêmes. In&motion travaille avec des partenaires équipementiers moto qui fabriquent le produit final tel que vous le voyez en rayon dans les magasins Dafy.
Pour la France, il s’agit par exemple d’Ixon et de Furygan, qui proposent chacun plusieurs versions de leurs gilets : U-03, U-04 et U-05 pour Ixon, FuryAirbag Evo et Evolution+ pour Furygan. En Italie, c’est Tucano Urbano qui fabrique l’Airscud, également vendu en France. Pour un gilet moto de route, vous pourrez aussi trouver des modèles différents sous les marques Held (Allemagne), RST (Royaume-Uni), Klim (États-Unis)…
En 2025, In&motion a noué un partenariat avec le constructeur Honda pour des gilets airbag moto de route, vendus exclusivement dans les concessions Honda. Depuis 2024, ils ont un autre partenariat avec la marque française Shot pour un produit spécifique au moto-cross (le gilet SRG1, que je n’ai pas testé). À chaque fois, le produit est différent dans sa coupe et son apparence, adapté aux pratiques des clients de chaque équipementier, avec différents types de plaque dorsale ou pectorale… mais avec toujours au cœur la même technologie.
Les composants du système
Le dispositif technique d’In&motion se compose de trois éléments :
- les coussins gonflables (qui ont évolué et sont aujourd’hui plus résistants, permettant d’envisager 5 gonflages successifs sans réparation),
- un générateur de gaz (qui a été amélioré au cours des dernières années pour devenir plus rapide et plus simple à changer après déclenchement),
- un boîtier électronique baptisé In&box. Elle contient les capteurs (trois accéléromètres et trois gyroscopes), une puce GPS, une batterie et un mini-ordinateur qui fonctionne avec des algorithmes de déclenchement du gonflage et une prise de mesures à une fréquence de 1000 fois par seconde.
Performance et précision
Aujourd’hui, ce système (présent et identique dans tous les gilets In&motion) assure un taux de détection de 96 % et un délai de gonflage opérationnel inférieur à 55 millisecondes. Le premier chiffre signifie que, sur 100 chutes en moyenne nécessitant un gonflage, au moins 96 d’entre elles sont détectées et donnent lieu à un déclenchement du gilet. Le second chiffre suppose qu’entre la détection d’une anomalie et le gonflage complet du gilet, il s’écoule la moitié du temps d’un battement de cils.
Amélioration continue et intelligence embarquée
L’amélioration continue du taux de détection – qui était déjà de 95 % en 2022 – repose sur l’exploitation des données renvoyées par les gilets eux-mêmes et par les retours d’expérience des utilisateurs qui reçoivent un questionnaire individuel après chaque déclenchement. Après six ans sur le marché motard, In&motion compte début 2025 plus de 105 000 utilisateurs actifs dans le monde. Soit plus de 300 millions de kilomètres parcourus (contre 60 en 2022). L’équipe a collecté et analysé les données (anonymisées) sur environ 16 000 chutes. Aujourd’hui, elle continue d’étudier une moyenne de 15 chutes chaque jour.
Un gilet airbag, plusieurs usages
Côté algorithmes de détection, la technologie In&motion s’est également améliorée dans sa polyvalence d’utilisation. Aujourd’hui, un même gilet permet de protéger son utilisateur aussi bien à moto qu’à cheval.
Sur une moto, le porteur du gilet peut choisir entre plusieurs modes, utilisant chacun des paramétrages différents :
- mode Route, standard
- mode Adventure, pour le trail sur chemins carrossables, l’enduro en loisir, le rallye tout-terrain
- mode Adventure Race, pour le rallye-raid et l’enduro en compétition
- mode Piste, pour le circuit fermé homologué, en course de côte et en supermotard
- mode Motocross, pour le MX et SX en extérieur avec sauts sur circuit réglementé
À chaque fois, l’algorithme embarqué s’adapte à la pratique : vitesses, angles, types de chutes… Par exemple, le mode Adventure Race s’adresse aux pilotes expérimentés de rallye-raid et d’enduro en compétition. Il ont l’habitude de ce genre de pratiques et ne veulent pas être couverts sur tous les types de chutes.
Tous ces modes de détection sont disponibles, mais en option payante, en plus du mode de détection principal choisi au départ. Le changement de mode se fait en quelques secondes sur l’application installée sur le téléphone du client. Pour ma part, j’ai pu essayer les modes Route et Adventure.
Modules et autonomie
Pour les utilisateurs les plus extrêmes, il existe à la fois d’autres modes et d’autres équipements. L’immense majorité des gilets vendus le sont avec le module appelé « Essential ». Cela protège le buste en face avant et arrière (thorax, abdomen, dos et cou). Certains équipementiers (comme Ixon avec le U-05) commercialisent un module « Performance ». Celui-ci inclut des coussins gonflables au niveau des épaules et des côtes latérales, mais pas de l’abdomen.
Côté modes d’utilisation, en plus des six modes accessibles au grand public, In&motion réserve plusieurs modes aux meilleurs pilotes mondiaux avec des algorithmes adaptés (Tourist Trophy, MotoGP, MXGP…).
Une amélioration supplémentaire a été apportée sur l’autonomie de la batterie. Elle est passée de 25 à 30 heures en usage constant (en moyenne), avec un temps de recharge à 100 % de deux heures sur secteur. Le boîtier se met de lui-même en veille en cas d’immobilité prolongée de plus de deux minutes. Il se réactive automatiquement en une seconde au moindre mouvement. En cas de veille prolongée, l’autonomie annoncée varie de plusieurs semaines à plusieurs mois en fonction des conditions de stockage (notamment de température). Vu la durée des périodes de test, je n’ai pas pu la mesurer.
Sécurité connectée : l’appel d’urgence
Autre amélioration apportée depuis quelques années : la fonctionnalité d’appel d’urgence par Liberty Rider est incluse. Chacun reste libre de l’activer ou non. Seuls la détection d’accident et l’appel d’urgence des secours sont inclus, mais pas les autres services proposés par Liberty Rider (envoi de SMS aux proches, partage d’itinéraire, navigation avec modes de conduite, alerte de virages dangereux, enregistrement de parcours…).
Les aribags In&motion testés
Pour les besoins de cet essai, In&motion m’a fourni un gilet différent chaque semaine pendant un mois en mars 2025. Je n’ai pas pris en compte les différents prix sur chaque produit car ceux-ci sont susceptibles de beaucoup varier dans le temps, notamment lors de promotions ponctuelles comme vous pouvez en retrouver régulièrement sur le site et dans les magasins Dafy.
Furygan FuryAirbag Evolution+
L’équipementier français Furygan propose deux gilets :
- le FuryAirbag Evo, doté d’une plaque dorsale de niveau 1 et se porte sous le blouson ;
- le FuryAirbag Evolution+, doté d’une dorsale de niveau 2, peut se porter en dessous ou au-dessus d’un blouson moto. À condition qu’il ne pleuve pas, car le boîtier n’est pas protégé contre l’eau.
Les deux versions protègent cervicales, thorax, colonne vertébrale et abdomen.
Mesurant 1,83 m pour 85 kg, j’ai choisi ce modèle en taille L, ce qui explique le côté très « près du corps ». Si comme moi, vous êtes entre deux tailles, il vaut mieux choisir la taille au-dessus : vous serez plus à l’aise et cela ne changera rien au degré de protection du gilet qui prend environ 5 cm d’épaisseur une fois gonflé.
Le confort d’usage n’appelle aucun commentaire : le poids du gilet ne se sent pas du tout quand on le porte, les matériaux sont légèrement extensibles et laissent une grande liberté de mouvement.
Le principal inconvénient ressenti est le manque de respirabilité. Dans la mesure où j’ai choisi un gilet porté sous le blouson avec une taille très ajustée, une coque plaquée contre le dos et des coussins gonflables par définition imperméables à l’air, ce type d’équipement ajoute une couche isolante. En hiver, cela permet de garder la chaleur du buste. Mais dès que la température ambiante passe les 15-20 °C, on transpire vite, surtout en ville où la faible vitesse diminue la ventilation.
Ixon U-04
Je suis ensuite passé sur un gilet Ixon U-04, version améliorée du premier gilet airbag U-03 sorti en 2019.
Cette fois, je l’ai pris en taille XL pour être plus à l’aise, notamment avec une sous-veste un peu épaisse. Ce gilet est globalement très proche de celui commercialisé par Furygan. À part le coloris de la doublure interne, la coupe est similaire et le confort d’usage est identique. Le prix de vente est d’ailleurs strictement le même, hors promotion ponctuelle.
Principale différence : les gilets Ixon ne peuvent se porter que sous le blouson, ils ne supportent pas l’eau. Comme le Fury Evolution, l’U-04 intègre une plaque dorsale de niveau 1.
Ixon U-05
Par ailleurs, le gilet est fourni avec un kit baptisé « IX-Connect » comprenant trois sangles afin de faciliter l’enfilage sous une combi cuir ajustée. Personnellement, je ne trouve pas que cela justifie les 200 euros supplémentaires, mais chacun fait ce qu’il veut de son argent
En troisième semaine, ce fut au tour du gilet Ixon U-05. Cette version diffère radicalement de la précédente : elle a été conçue pour être portée sous une combinaison en cuir. Nettement plus cher que les autres, ce gilet peut aussi être porté sous un blouson ou une veste, cuir ou textile, si l’utilisateur le souhaite. Sa principale singularité réside dans les coussins gonflables présents au niveau des épaules, qui vont protéger les clavicules.
Il intègre également des coussins sur les côtés, au niveau des côtes. En revanche il fait l’impasse sur la protection de l’abdomen.
Tucano Urbano Airscud Flex
Enfin, j’ai terminé cet essai « marathon » avec un produit encore différent : le Tucano Urbano Airscud Flex.
Je l’ai pris en taille XL afin de pouvoir le porter au choix sur ou sous le blouson, en fonction des températures. Ce gilet a en effet été conçu avec un boîtier In&box protégé par une couche textile imperméable dans le dos. Cela le rend « water resistant » et permet de porter le gilet en couche extérieure, y compris sous la pluie.
À l’inverse, par temps chaud, deux grands zips (imperméables) dans le dos, de chaque côté de la plaque dorsale, permettent une aération maximale : combiné avec un blouson « mesh » bien ventilé, on ne sent (presque) plus la présence du gilet. Et l’hiver, on peut porter le gilet sous la veste afin de garder le buste au chaud.
Autres avantages de ce produit : il est bien moins cher que les autres et existe en version femme (très originalement appelée « Airscud™ Flex Lady »). C’est le seul gilet équipé In&motion avec une version coupée spécialement pour les motardes, conductrices ou passagères. Celles qui ont un peu de poitrine et souhaitent porter le gilet sous leur blouson apprécieront l’attention.
Que ce soit en version homme ou femme, on peut lui reprocher une esthétique plus discrète que ses concurrents. Mais à mes yeux, c’est plutôt un avantage afin de pouvoir le porter sur n’importe quelle tenue moto, quel que soit son style. J’apprécie également certains petits détails de finition, comme la double patte de serrage en bas du zip central. Elle permet d’éviter les fines rayures sur le réservoir de la moto.
Au final, ce produit reste mon préféré parmi les quatre déclinaisons essayées.
En pratique : usage quotidien
Un gilet airbag autonome (sans câble relié à la moto et qui embarque tous les capteurs), c’est une partie matérielle et une partie logicielle. Outre le vêtement en lui-même (sa coupe, sa longueur, ses matériaux, la présence d’une plaque dorsale, le niveau de protection de celle-ci et sa superficie), le confort d’usage d’un gilet airbag repose aujourd’hui en bonne partie sur la qualité de son algorithme de déclenchement et sur celle de son application numérique sur smartphone.
Concernant l’algorithme, il reste bien évidemment tenu secret par l’entreprise In&motion. Celle-ci met en avant un taux de détection de 96 %, très élevé, mais qui laisse encore 4 % de situations où le gilet aurait dû se gonfler et ne l’a pas fait. On relève également quelques cas de déclenchement intempestif, très rares mais existants, où le gilet s’est gonflé alors qu’il n’y avait pas nécessité.
L’application « My In&box »
L’app My In&box est proposée gratuitement sur les magasins Apple iOS et Google Android. Utilisant deux téléphones différents, j’ai pu l’installer sur un système Android 14 (datant de 2024) et sur un Android 8.1 (datant de 2019). L’application, reliée au gilet par Bluetooth, permet de gérer les différents paramètres : abonnement, modes d’utilisation, niveau de batterie…
Il n’est pas nécessaire de garder l’app active pendant l’utilisation du gilet, ce qui permet de garder le téléphone en mode avion pendant la conduite. Il suffit d’activer le Bluetooth pour se connecter au gilet en quelques secondes et consulter l’autonomie restante.
La batterie se recharge via un port USB, ce qui permet de la recharger avec une batterie externe si on ne dispose pas d’une prise secteur à proximité. Par contre, le gilet ne peut pas se recharger en roulant, il se désactive quand on le met en charge. Il faut compter environ deux heures pour une charge complète sur secteur
Notifications, synchronisation et mises à jour
Si l’utilisateur garde l’app active pendant l’utilisation du gilet, il reçoit des notifications automatiques de sécurité. Notamment une alerte « orange » quand le niveau de batterie passe sous les 30 %, puis « rouge » quand il est inférieur à 5 %. De même, une alerte informe immédiatement si l’In&box n’est pas fonctionnelle, si le gonfleur « inflator » n’est pas détecté correctement ou si l’appel d’urgence est désactivé.
L’application est compatible Apple CarPlay et Android Auto pour les motos qui en disposent. Elle est aussi compatible avec l’Apple Watch, ce qui permet de recevoir les notifications, mais aussi de changer de mode d’utilisation directement sur sa montre connectée.
Les mises à jour du logiciel, proposées tous les trois mois environ, se font de préférence par Wi-Fi. Pour en avoir vécu une, cela prend environ cinq minutes avec une bonne connexion internet.
Dans l’autre sens, il est nécessaire de synchroniser régulièrement les données recueillies pendant le roulage. Cette opération dépend du kilométrage parcouru et est conseillée pendant la recharge du gilet.
Gonflage des airbags et remise en état
En cas de déclenchement, il est possible de changer soi-même la cartouche de gaz et de remettre le gilet en condition opérationnelle, s’il n’a pas été endommagé. Une cartouche inflator coûte 69 euros, frais d’envoi inclus. La procédure prend quelques minutes et est expliquée en détail dans une vidéo, disponible sur l’app et sur YouTube.
Tant que les coussins gonflables n’ont pas été percés ou le boîtier abîmé, le gilet est réutilisable et peut être rechargé jusqu’à cinq fois avant de devoir le renvoyer à l’atelier
Une entreprise ancrée en Savoie
In&motion revendique son identité française et savoyarde. Après trois changements de locaux pour accompagner la croissance du nombre de ses employés, l’entreprise reste toujours implantée dans la banlieue d’Annecy, où elle conserve l’intégralité de ses activités, techniques et commerciales.
Le service clients est hébergé en interne au siège, et non délocalisé dans un centre d’appels à l’étranger. Seul changement par rapport aux débuts : les tâches à faible valeur ajoutée, comme la préparation des commandes ou les envois et réceptions des colis, ont été externalisées vers une entreprise sociale d’insertion, située à quelques centaines de mètres du siège d’In&motion.
À l’inverse, toutes les activités hautement spécialisées, notamment la réparation et la remise en état des gilets, sont effectuées en interne par une équipe de quatre personnes à l’atelier. Lequel sert aussi pour la recherche et développement, avec la réalisation de prototypes.
L’efficacité des airbags remise en contexte
Certains motards doutent parfois de l’efficacité du gilet airbag en cas de choc, en se référant notamment à « des études scientifiques » qui auraient prouvé que l’airbag ne sert à rien au-delà de 40 km/h. Ce préjugé relève d’une mauvaise compréhension de la réalité scientifique.
Un gilet airbag moderne (électronique, autonome) détecte l’anomalie au moment où le corps subit une forte décélération, c’est-à-dire dès que le conducteur décolle de la selle. Le gilet est gonflé quasi instantanément, alors que la personne est encore en l’air, et atténue l’impact primaire, que ce soit avec le sol ou un obstacle. Cette protection ne fait qu’atténuer l’impact : elle ne saurait l’annuler.
Tout reste une question d’énergie cinétique, donc de vitesse juste avant l’impact. Sur des décélérations soudaines à plus de 70-80 km/h, l’airbag aide mais ne fait pas de miracle…
La croyance selon laquelle l’airbag serait inefficace au-delà de 40 km/h provient d’une phrase sortie de son contexte. Extraite de l’étude EFFIGAM (2019, Université d’Aix-Marseille). Cette étude précise que :
« Lors d’une chute à 60 km/h ou d’un impact direct à 40 km/h, des lésions graves au niveau du tronc peuvent survenir même avec le port du gilet. »
Mais elle conclut aussi que :
« Des essais crash-test ont montré une différence notable entre les gilets filaires et les déclenchements radio, notamment en termes de temps de déclenchement… »
« Le gilet airbag est globalement bien perçu par les usagers et la plupart de ceux qui ont eu un accident relèvent son effet protecteur. »
Tarifs, formules et options
Lorsque vous achetez un gilet airbag moto en magasin Dafy ou sur le site, il n’est pas opérationnel de suite : vous recevez le gilet, sans son boîtier électronique In&box. Cette box vous est envoyée sous 48 h à domicile, avec une gestion séparée du financement.
Deux options de base : achat ou location
- Achat « Classic » : possible dès le départ ou après une période de location (prix réduit selon l’ancienneté).
- Location « Révolution » : sans engagement, avec garantie incluse et échange gratuit en cas de panne ou amélioration technique.
Seuls les clients en location bénéficient :
- du remplacement gratuit du boîtier si une version améliorée sort,
- d’une garantie illimitée pendant toute la durée de location.
Tarifs :
- Location annuelle : 120 €/an (avec 2 mois offerts), idéal si vous roulez au moins 8 mois/an.
- Location mensuelle : 12 €/mois, ou 4 €/mois en inactivité (sans renvoi du boîtier).
Modes supplémentaires :
- 8 €/mois par mode
- 25 €/an par mode
- Achat définitif (si boîtier acheté) : 100 € à vie du produit
Appel d’urgence Liberty Rider :
- Inclus en location
- 39 €/an en cas d’achat du boîtier
Toutes les options sont sans engagement, résiliables en cinq minutes depuis l’application.
Bien protégé, bien équipé, bien conseillé : retrouvez tous les gilets airbag In&motion et les meilleurs équipements pour rouler en toute sécurité. Sur le site Dafy Moto ou directement en magasin !
Voir aussi : Top des casques Arai 2025
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