Auteur/autrice : Alex Bage

  • Alex Bage teste les gants All One City LT

    Alex Bage teste les gants All One City LT

    Le premier élément que m’a sauté aux yeux est la sobriété des gants All One City LT.

    Noir mat, cuir léger, manchettes courtes, pas de fioriture, des gants comme je les aime !

    Le hic au moment du premier essayage fut la coque de protection qui n’était pas agréable sur le dessus du poing et même un peu douloureuse pour tout dire. En revanche, après une semaine d’utilisation quotidienne, le cuir se fait à la main, la gêne disparaît et on apprécie pleinement son vrai confort. Soyez patient, quelques heures de roulage et ils se feront à vos mains.

    Le cuir paraît assez résistant et très souple à la fois. Les gants proposent une protection renforcée classique sur la paume de la main (rien de novateur) et une coque bien intégrée au design sur le dessus du poing. Ce sont plutôt des gants été/mi-saison, je suis malgré tout curieux de les essayer à plus basse température.

    J’adore le style : sobre, avec un rappel de la marque en thermoformé dans le cuir, juste parfait.

    Me concernant, j’aime ressentir les poignées de la moto dans les mains, ce que je retrouve ici avec les gants All One City LT, contrairement à certaines matières qui en font perdre la sensation.

    En résumé, ce sont des gants plutôt « secure* » avec une belle coupe, parfait pour la ville ou balade de weekend. Autre petit plus, les gants City LT sont certifiés CE et répondent à la nouvelle loi !

     

    Conclusion
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    Le style épuré est très sympa

    Le côté sécurité respecté

    Manchette courte

    J’aime moins

    Le temps qu’ils se fassent à la main

     

    * Qui assurent une bonne protection

  • Alex Bage teste pour vous le pantalon DMP ICE

    Alex Bage teste pour vous le pantalon DMP ICE

    Le pantalon DMP ICE a été crée pour moi 🙂

    J’ai déjà eu plus de 5 pantalons de moto différents. Trop court, air qui rentre, pantalon qui craque à l’arrière, pas si étanche que ça, etc…

    Après 1 mois d’utilisation quotidienne, par pluie le plus souvent, (oui, je rappelle que j’habite en Irlande), j’en suis juste ravi !

    Lors de l’Unbox*, on voit déjà que c’est un pantalon de très bon rapport qualité/prix. Super qualité du textile, renforts genoux, fessier et latéraux. Pas de fioritures. Ça sent la sécurité 😉

    Il comporte des passants élastiques sous-bottes solides, un indispensable me concernant, cela évite les entrées d’eau, bien désagréables dans les bottes…

    Niveau chaleur, il est très bien, coupe bien du vent. La doublure offre un confort supplémentaire. Je l’enlèverai cet été.

    Design réussi et sympa, coupe cintrée, c’est un bon pantalon moto à usage quotidien ou longue route.

    Petit plus, le zip pour lier le manteau, bien pratique.

     

    Conclusion
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    Bonne protection du froid

    Étanchéité

    3 types de protections intégrés

    Confortable

    J’aime moins

    Manque de poche (juste les 2 classiques)

     

  • Alex Bage teste pour vous le blouson en cuir DMP Smoke

    Alex Bage teste pour vous le blouson en cuir DMP Smoke

    Voilà un beau produit, l’incontournable du motard : le cuir.

    Au déballage du blouson DMP Smoke, on a déjà l’odeur du neuf qui vient nous chatouiller les narines.

    Robuste au premier contact, encore une fois, l’aspect style et sécurité se rencontrent. Il pèse également son poids, ce qui fait partie du charme.

    Les épaulettes et les protections des épaules et des coudes sont particulièrement résistantes. Pour les protections au dessus des épaules, je ne suis pas fan du coté caoutchouc transparent, mais c’est une histoire de gout et d’habitude.

    Le confort est total une fois sur route, le corps est « bien enveloppé » dans la veste. Ce qu’on ressent moins dans une veste plus traditionnelle.

    Sur autoroute, protection normale au froid, il faut tout de même penser à ajouter un bon pull en dessous. Je noterai un petit passage du vent par la fermeture éclair. Il n’y a qu’une petite doublure sous le zip.

    Coté étanchéité, je n’ai pas eu l’occasion de l’essayer sous la pluie.

    Le cuir est de très bonne facture, l’aspect mat me convient et le style est présent. Pas de grosse marque présente sur le blouson, juste un logo de rappel sur la poitrine droite.

    Les zips aux manches sont une bonne chose et offres un certain confort selon les conditions. Poches classiques téléphone et portefeuille à l’intérieur.

    Vous avez la possibilité d’y ajouter une dorsale homologuée.

     

    Conclusion
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    La coupe et le style de la veste

    Parfait pour les balades urbaines

    Cuit de très bonne facture

    Les protections relativement solides

    Pas de gros logo

    J’aime moins

    Passage du vent au niveau de la fermeture éclair

    Pas de dorsale intégré

    Col mao (je préfère les cols montants)

     

    >> Retrouvez également tous les conseils Dafy pour acheter votre blouson de moto !

  • Alex Bage teste pour vous le Jean All One Citizen

    Alex Bage teste pour vous le Jean All One Citizen

    Cela faisait un moment que je pensais à un jean moto.

    Au moment de l’Unbox*, j’ai été ravi de voir la robustesse du tissu, assez épais.

    Le jean All One Citizen est renforcé sur l’ensemble du pantalon avec de la fibre aramide. Il contient également une doublure fabriquée avec des fibres DuPont™ Kevlar®.

    La coupe regular, ceci étant, est un peu large à mon gout. Pour ceux qui comptent le garder un fois arriver au travail… c’est à vous de voir 😉

    Du coté des protections, elles sont amovibles aux genoux et aux hanches, assez douces et on ne les sent pas trop durant la conduite.

    On notera des pattes élastiques au niveau du bas de jambe à positionner sous la chaussure pour un bon maintien du pantalon. On aime ou pas, perso, ce fut un coup de ciseaux !

    En ville, pas de soucis, on a la résistance au froid. Sur de plus longues distances, attention, cela reste un jean renforcé. J’ai ressenti le froid assez rapidement sur autoroute.

    Niveau étanchéité, encore un fois, c’est un jean 😉 Toujours plus résistant à la pluie qu’un classique, mais ne vous attendez pas à arriver au bureau tout sec en cas de drash.

    Globalement, j’en suis content pour une utilisation quotidienne, je ne l’utiliserai pas pour faire des bornes sur un weekend complet, mais pour une sortie ensoleillée de quelques heures.

     

    Conclusion
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    Parfait pour une balade estivale

    Bonnes protection genoux et hanches amovibles

    La doublure renforcée

    J’aime moins

    La coupe

    Le style trop moto, pas assez jean.

    Protection aux conditions climatiques

     

    *Unbox : action de déballer le produit du carton

  • Alex Bage teste pour vous les gants mi-saison All One Fight LT

    Alex Bage teste pour vous les gants mi-saison All One Fight LT

    Alex Bage a testé spécialement pour vous les gants mi-saison All One Fight LT !

    Les gants : un accessoire que j’adore et qui est plus qu’important !

    Lors de l’Unbox* je découvre une paire de gants mi-saison plutôt classique mais qui cachait bien son jeu !

    Renfort plus que solide au niveau des phalanges. La qualité du textile utilisé à l’air d’être au rendez-vous. Doublure de renfort au niveau de la paume de main. Coutures renforcées.

    Une fois enfilés, je les ai trouvé super confortables. Le serrage poignet est simple mais bien pratique. Le design plutôt sombre avec un rappel de la marque au niveau du poignet. Parfait pour des gants mi-saison, ils remplissent bien leurs rôles.

    En revanche, niveau étanchéité, on a rapidement les mains trempées. Pas trop de surprise, c’est du mi-saison.

    Balade d’un après-midi en septembre par un temps plutôt clément, je les ai trouvés à mon goût.

     

    Conclusion
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    Renfort de la paume

    Coupe classique

    Protections des phalanges très solides

    Le rapport qualité/prix

    J’aime moins

    Design un peu simple

    Mauvaise étanchéité

     

    >> Retrouvez les conseils Dafy pour acheter vos gants de moto !

  • Alex Bage teste pour vous les vêtements thermiques Baltik

    Alex Bage teste pour vous les vêtements thermiques Baltik

    Test du Sweat thermique, du caleçon microtex et des sous-gants microtex Baltik !

    Comme tout bon motard qui se respecte, le temps ne me fera pas renoncer à la moto. Quoi que par moment, le froid reprend ses droits et on peut regretter après quelques kilomètres… J’ai découvert récemment la gamme Baltik. Plus particulièrement le Sweat manche longue à zip. Confortable et léger, il apporte une grande résistance au froid. Je m’en suis également servi à la montagne et lors d’un déplacement à Chicago par -20°C. Un simple T-shirt + le sweat Baltik + mon manteau. Parfait, plus besoin de se suréquiper ! Le textile est de bonne qualité, 100% polyester et possède un bon col. Je suis ravi de ce nouveau vêtement technique.

    Concernant le caleçon, il est classique, un peu galère à mettre, mais bien chaud. Rien de spécial à noter.

    Les sous-gants, quand à eux, sont très légers, classiques encore une fois. Petit bonus par grand froid, mais ne sauvera pas vos mains 😉

     

    Sweat
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    Caleçon
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    Sous-gants
    etoile_pleineetoile_pleineetoile_pleineetoile_videetoile_vide 3,0/5

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    Excellente protection du froid pour le Sweat

    Légèreté

    Textile de qualité

    Gamme en Microtex (bien mieux que la soie)

    J’aime moins

    Prendre la taille au-dessus pour sweat car il taille petit

    Ton style en caleçon devant ta femme…

     

  • Road Trip Irlande

    Road Trip Irlande

    L’Irlande à moto, c’est vraiment une destination à programmer un jour ou un autre ! Faut-il déjà s’y rendre… Un point qui freine déjà plus d’un motard de l’hexagone. Mais les gars, je vous assure que ça vaut le coup 😉 Je paie ma tournée à Dublin pour les plus courageux !

    Voici le récit de mon Road trip. Français, mais résident Irlandais, je suis déjà sur place. Mais mon oncle et mon cousin, au départ de Paris, décident de me rejoindre.

    L’ensemble de nos nuits se sont passées dans des Bed&Breakfast, très populaires en Irlande. Les avantages sont évidemment le prix mais aussi les cours/jardins dans lesquels vous pourrez garer vos motos. Lorsque vous serez en centre ville, dans le country side, dans la rue, c’est plutôt sûr, vous n’avez rien à craindre.

    ROAD-BOOK

    Parcours : 1 559 km

    Durée : 10 jours

    Jour 1 : La traversée

    Venant de France, 2 choix de ports s’offrent à vous :

    • Cherbourg
    • Roscoff

    Côté Irlande, 4 ports d’arrivée sont possibles. Pour le road-trip que je vous propose, je vous conseille celui de Rosselare.

    Concernant mes acolytes, ce fut Cherbourg / Rosselare, soit 18h de traversée (prévoyez les cartes pour jouer). Préférez la traversée de nuit qui vous fera arriver le matin.

    Pour les plus courageux, il est possible de faire la traversée via l’Angleterre. Comptez plus de 1 000 km d’Est en Ouest et 2 ferrys quoi qu’il en soit.

    Jour 2 : Rosselare à Dublin – (154 / 180km)

    Rosselare est une petite ville du comté de Wexford et vous offre une première vue de l’Ile d’Emeraude. Après votre « bonne nuit de sommeil », enfourchez votre bécane et filez en direction de Wicklow Mountains, une Guinness fraîche vous y attendra dans tous bons pubs qui se respectent.

    Première étape Glendalough

    De Rosselare, M11 en direction de Dublin, 80km (autoroute).

    Arrivée à Arklow, déviez alors sur la R747 (7km), puis sur la R752 (27km).

    Glendalough est une petite ville datant du 6ème siècle avec son fameux cimetière. Je vous assure que la ville vaut le détour. S’il n’y a pas trop de monde, c’est un lieu particulier, doux avec une atmosphère reposante. Pour la pause déjeuner, allez vous dégourdir les jambes dans le cimetière.

    Seconde étape Dublin

    2 choix s’offrent à vous :

    1- T’es gentil j’ai 18h de bateau dans les pattes : Autoroute, M11 (50km)

    2- Motive-toi, c’est un truc de fou !!! Traversée de Wicklow par la R115 (50/60km) avec de petites routes et superbes paysages, peu de voitures, de quoi se faire plaisir ! Attention toutefois aux moutons en bord de route !

    >> Voici une de mes vidéos pour vous convaincre d’y passer

    Hôtel à Dublin, préférez le centre et un hôtel avec parking.

    Hostel, Bed&Breakfast, Hôtel, à vous de voir:

    Hôtels (Budget +)

    Bed and Breakfast

    Ils ont généralement une petite cour ou un jardin pour garer les motos.

    Hostels

    Les Hostels n’ont pas de parking, mais ont souvent des accords avec des parkings privés proches.

    C’est le meilleur Hostel de Dublin. Ils ont un partenariat avec parking fermé pour 10euros supplémentaires.

    Sinon, vous pourrez trouver un logement dans l’extrême centre, près de Temple bar. Mais c’est souvent bruyant et moins sécurisant pour vos motos. Qui a envie de retrouver sa moto par terre ou avec une galette sur le siège ? C’est une affaire de goût 😉

    Jour 3 : Dublin à Galway (209km)

    200km direction le grand Ouest via la M6 ! C’est l’étape la moins intéressante après la traversée. Quelques paysages sympas mais assez ressemblants. Vous pourrez donc profiter de Galway en fin d’après midi. Faîtes une pause repas à Athlone. Rien de bien spécial mis à part son vieux pont et son architecture Irlandaise ancienne.

    A Galway, la vie nocturne est bon enfant, il y a des nombreux pubs, de la musique et de belles rencontres à faire. Allez faire un tour à William Street et promenez-vous à la découverte du centre ville. Il y a beaucoup de très bons Pubs, mais je vous conseille la Monroes Tavern ! Live music, Good Pizza et bonne ambiance ! Ne chargez pas sur les bières locales, demain, il y a de la route, et pas des moindres 😉

    Niveau hébergement, un Bed&Breakfast fera l’affaire. Il y en a plein, vous pourrez même garer la moto dans le jardin. Renseignez vous toutefois à l’avance, pour être sûr que les bécanes ne dorment pas dans la rue. Normalement non, mais on n’est jamais trop prudent.

     

     

    Jour 4 et 5 : Galway – Connemara Lacks (100 à 150km selon les routes)

    Voici une de mes parties préférées du trip. 2 000 hectares de nature. Des virolos à toutes les sauces, des paysages « à l’Irlandaise » comme dans votre imaginaire 🙂

    Les grands lacs, les forêts, des paysages vertigineux, vous vous devez de les explorer sur au moins 2 jours. Ce que nous avons fait. Attention toutefois à ne pas trop attaquer, certaines portions de routes sont endommagées, il y a des graviers un peu partout et, sur certaines parties, on peut retrouver des moutons en bord de route.

    Pour cette section de voyage, je vous invite à vous perdre sur les routes et naviguer à l’aveugle. Vous le savez, c’est là qu’on découvre les plus beaux endroits.

    Ne ratez pas la Sky Road, réputée pour être une des plus belles routes de l’île, elle fait partie de la « Wild Atlantic Way« . Tous les guides vous la recommanderont. Malheureusement, pour notre part, nous en avons profité sous une pluie battante…

    Jour 6 : Galway à Limerick (300km)

    Une fois sorti de Galway, il vous faudra rejoindre la N67 pour aller jusqu’à la pointe (Cavan).

    Vous longerez la côte, je vous invite d’ailleurs à passer au plus près de la mer : des petits ports de pêcheurs y sont logés un peu partout.

    Une fois à Kilkee, sortez de la N67, prenez la R487 jusqu’au bout. Vous arriverez alors au Loop Head Lighthouse avec sa falaise (150km de Galway). Profitez d’un peu de nature sauvage et du phare au beau milieu. Pour la pause, il y a une petite buvette en bord de mer, sans prétention, quelques kilomètres avant. Il y a probablement davantage de choses à voir avant de rejoindre Limerick, mais, pour notre part, nous avons préféré finir les 130km d’une traite car nous étions fatigués.

    Jour 7 : Limerick à Killarney (220km)

    Continuité de la Wild Atlantic way, à peu près les mêmes paysages toujours aussi transcendants !

    On traverse ici plusieurs petits villages bien « Irish », sur la N69 : Foynes, Tarbert, Tralee. Je n’ai pas d’adresse à vous partager, nous avons fait des arrêts très brefs sur cette portion de 110Km.

    En revanche, poussez sur Dingle pour découvrir ce village qui en vaut véritablement la peine. Mecque du surf Irlandais (oui, oui, de grands surfeurs viennent d’ici), c’est un endroit qui, à mes yeux, a un esprit un peu à part, un peu isolé face à l’Atlantique. Prenez votre déjeuner sur le port, tout à l’air plutôt sympa, je vous laisse donc choisir ce qui vous conviendra le mieux ! Allez par la suite faire un tour sur Inch beach (15km de Dingle sur le chemin de Killarney), le futur Kelly Slater Irlandais vous fera peut-être signe !

    Il vous reste encore 40km à faire avant un repos bien mérité à Killarney. Nous avons arrêté les moteurs au Failte Hotel, au-dessus d’un Pub en plein centre, les motos ont dormi dehors.

    Jour 8 : Killarney à Cork (Cohf) (80km en direct, 300km avec le tour)

    Welcome at the Rings of Kerry !!! Un des endroits incontournables de la balade. Naturellement, vous allez commencer la route (N71) en passant par le Killarney National Park, des virolos et de beaux paysages montagneux vous attendent. A la sortie du parc, prenez la R568 sur 10km puis à droite. Une petite route (Ballaghbeama gap) sans indication vous amènera sur un superbe endroit avec de petites routes très sinueuses, vous serez seul au monde, mais ne roulez pas trop vite vu l’état des routes. Ça se fait facilement, pas besoin de gros trails, je vous rassure ! Perdez-vous ! Je ne vous apprends rien, c’est comme ça que vous en verrez un max ici !

    A mes yeux, ça vaut une journée complète, voir deux, tellement il y a de paysages différents et intéressants. Avec un simple tour de l’anneau du Kerry, vous aurez déjà pas mal de beaux souvenirs à ramener 🙂

    Ce n’est pas tout, vous avez bien roulé, en avez pris pleins les yeux, mais il faut se rendre au prochain point : Cobh (prononcez COF), la dernière escale du Titanic ! (80km de Killarney, oui en plus du ring, ça peut faire une sacrée journée !). C’est un des plus époustouflants panoramas que révèle le patrimoine naturel de l’île.

    De Killarney, tracez sur l’autoroute N22.

    Nous avons pris un Bed&Breakfast à deux pas de la cathédrale. Nous avons fait une petite balade sur le port pour se dégourdir les jambes et bu une bière dans un Pub typique.

    Jour 9 : Cohf à Rosselare (200km)

    J’ai laissé mon oncle et mon cousin filer droit à Rosselare, rien de spécial à voir sur cette route comparé au reste du trip. Nous avons fait un petit arrêt déjeuner à Waterford, avant de rejoindre le port pour l’embarcation. Quant à moi, je suis remonté sur Dublin d’une traite par la M8, sur autoroute, personne, tête dans le guidon, on lâche les gaz.

    Jour 10 : Traversée (18h de bateau again!)

    Retour dans votre douce France 😉

    Pour celles et ceux qui tenteront l’aventure, n’hésitez pas à partager votre expérience !

    >> Itinéraire Google Maps (approximatif)

    >> Découvrez également d’autres road trip

  • Alex Bage teste pour vous le pantalon Baltik Aquacold

    Alex Bage teste pour vous le pantalon Baltik Aquacold

    Alex Bage a testé spécialement pour vous le pantalon de pluie Baltik Aquacold !

    Sa principale fonction : vous garder au sec et au chaud. Voici la version « Deluxe » du pantalon de pluie.

    A la découverte du produit, j’ai cru à un véritable pantalon manteau tel qu’on l’entend. Il est épais, comportent plusieurs doublures de renforts en textile sur le côté des jambes et est totalement imperméable.

    Résidant Irlandais, j’ai pu l’essayer sur 2 semaines et sous des pluies froides en décembre. J’ai aimé l’élastique de soutien à caler sous les pieds qui permet de conserver le haut de la botte protégé. Pour avoir fait l’expérience de rouler les pieds dans l’eau plusieurs fois… ceci est purement génial !

    Le produit en lui-même est de bon rapport qualité prix, les coutures sont résistantes. La doublure thermique amovible remplie son rôle et tient bien chaud. L’étanchéité est parfaite : je suis resté au sec tout au long de mes virées sous la pluie. On retrouve comme sur la plupart des pantalons, les 3 scratchs au niveau de la cheville, pratique pour ajuster rapidement.

    Niveau design, on reste sur du classique pantalon moto.

     

    Conclusion
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    Qualité du nylon, matière très étanche.

    Élastique de soutien au pied

    Doublure

    J’aime moins

    Design classique

    Aucune protection genou ou emplacement pour

     

    >> Retrouvez également le test de la veste Baltik Flash !