Auteur/autrice : Dafy Moto

  • Kawasaki à l’honneur ce week-end !

    Kawasaki à l’honneur ce week-end !

    Ce week-end, le 29 mai 2016, avait lieu la 7ème épreuve du championnat du monde Superbike et Supersport à Donington au Royaume-Uni, l’occasion pour Kawasaki d’afficher de beaux podiums.

    Après un beau départ, Tom Sykes et Jonathan Rea sur leur ZX-10R prenaient déjà quelques secondes d’avance sur leurs adversaires. Naturellement et comme depuis 4 ans, Tom Sykes signe pour la première place sur son circuit à Donington et réalise son premier doublé de la saison. Jonathan Rea se place alors en deuxième position suivi de Chaz Davis sur sa Ducati.

    Nicky Hayden qui s’était offert la première place sur le circuit de Sepang en Malaisie, termine la course en 6ème position derrière Lorenzo Savadori à la 4ème place et Leon Camier à la 5ème.

    Au général, Jonathan Rea garde sa première place mais est désormais suivi par Tom Sykes à 56 points et du pilote Ducati Chaz Davies à 62 points.

    Kenan Sofuoglu honore sa reconduction avec Kawasaki

    En Supersport, notre pilote Jules Cluzel termine en huitième position après un week-end difficile pour lui. La première place est célébrée par le turc Kenan Sofuoglu qui honore sa reconduction avec Kawasaki, suivi de l’américain Jacobsen et du suisse Krummenacher sur sa ZX-6R.

    Au classement général, Jules perd sa 3ème place pour la laisser à Jacobsen, qui se positionne derrière Krummenacher à 26 points de Sofuoglu qui, lui, accumule 121 points.

    La prochaine étape du championnat du monde aura lieu sur le circuit de Misano en Italie les 18 et 19 juin !

    >> Suivez tous les résultats sur le site du championnat du monde

    Source photo : wordsbk.com

  • C’est la Fiesta Daf ! Des centaines d’articles à prix coûtant !

    C’est la Fiesta Daf ! Des centaines d’articles à prix coûtant !

    A l’occasion de l’Euro 2016, Dafy organise la Fiesta Daf ! Des centaines de produits sont proposés à prix coûtant du 1er au 18 juin 2016 dans tous les magasins participants !

    La Fiesta Daf c’est aussi l’occasion de profiter des soldes en avant-première !

    Trouvez vos équipements à prix sacrifiés : casques, blousons, gants et bien d’autres produits.

    De nombreuses animations seront organisées les samedis 4 et 11 juin avec de nombreux cadeaux à gagner !

    Rendez-vous dans votre magasin Dafy Moto !

    Liste des magasins participants :

    Saint-Brieuc, Saint-Quentin, Bourges, Bourgoin-Jallieu, Meaux, Poitiers, Clermont-Ferrand, Paris Voltaire, Grenoble, Seclin, Bordeaux, Toulouse, Nantes, Metz, Montpellier, Marseille, Coignières, Tours, Strasbourg, Dardilly, Nice, Dijon, Bayonne, Reims, Orléans, Rennes, Avignon, Mulhouse, Toulon, Le Mans, Corbeil Essonnes, Périgueux, Nîmes

  • Lorenzo, invincible en MotoGP, Rossi contraint à l’abandon

    Lorenzo, invincible en MotoGP, Rossi contraint à l’abandon

    Ce 22 mai 2016, pour la sixième manche du championnat du monde de vitesse de MotoGP au circuit du Mugello en Italie, Lorenzo s’est une nouvelle fois imposé face à ses concurrents.

    Valentino Rossi, parti depuis la pole position, avait à cœur cette épreuve du championnat qui se déroulait sur son circuit. Toutefois, après s’être frotté à Jorge Lorenzo, il a été contraint d’abandonner la course suite à la casse du moteur de sa Yamaha.

    C’est finalement Marc Marquez, déterminé à finir victorieux, qui a mis la pression à Lorenzo jusqu’au dernier tour pour finalement se contenter de la deuxième place en raison de ses difficultés d’accélérations.

    L’italien Andrea Iannone, au guidon de sa Ducati, a pu réconforter les supporters italiens en se plaçant en troisième position malgré un mauvais départ. Derrière lui, Dani Pedrosa s’installe à la quatrième place et son coéquipier Andrea Dovizioso se positionne à la cinquième place de cette sixième épreuve.

    Le classement général provisoire reste inchangé. Lorenzo est toujours en tête du championnat avec 115 points, suivi de Marquez à 10 points et de Rossi à 37 points.

    Alexis Masbou à l’abandon, Brad Binder victorieux

    Du côté du championnat du monde Moto3, Brad Binder signe pour la troisième victoire de sa carrière devant les italiens Favio Di Giannantonio à la seconde place et Francesco Bagnaia en troisième position. Alexis Masbou est quant à lui contraint d’abandonner la course.

    En Moto2, le français Johann Zarco remporte sa deuxième victoire de la saison en s’imposant devant l’italien Lorenzo Baldassarri et l’anglais Sam Lowes.

    La prochaine épreuve du championnat du monde se déroulera le week-end du 5 juin en Espagne sur le Circuit de Barcelone-Catalogne.

  • Tourist Trophy de l’île de Man, c’est reparti !

    Tourist Trophy de l’île de Man, c’est reparti !

    Le Tourist Trophy, légendaire course de moto sur les routes de l’île de Man, située entre l’Irlande et l’Angleterre, a lieu cette année du 28 mai au 10 juin 2016 ! Cette 97ème édition est l’occasion de revenir sur cet événement annuel marquant.

    Chaque année depuis 1907, c’est plus 40 000 motards qui se retrouvent les 15 premiers jours de juin durant cette course infernale aux 264 virages ! Aussi spectaculaire que redoutable, elle est considérée comme la course la plus dangereuse au monde de part le nombre important de décès et de blessés depuis ces débuts. En effet, plus de 240 pilotes ont laissé leur vie sur les routes mannoises en 100 ans d’existence.

    La célèbre course de l’Île de Man se dispute sur 60 km de routes publiques, fermées à la circulation pour l’occasion, au travers des villes et villages, avec tous les dangers que cela comporte : obstacles, trottoirs, trous, bosses et tous les aléas que l’on peut rencontrer sur la route.

    Des records sur les routes du Tourist Trophy

    L’an dernier, en 2015, l’anglais John McGuinness remportait la course Senior TT, devançant le recordman de vitesse du TT, James Hillier qui a lancé sa Ninja H2R à 331.52 km/h dans la ligne droite de Sulby, cette même année.

    Actuellement, Joey Dunlop est l’homme le plus titré de cette mythique course avec 26 victoires !

    Les essais auront lieu du 28 mai au 03 juin et les courses débuteront le 04 juin pour finir le 10 juin !

    En attendant le début du Tourist Trophy, découvrez l’Île de Man à travers la vidéo d’Alex Bage !

  • Quelques motos au design hors normes !

    Quelques motos au design hors normes !

    Rien que pour le plaisir des yeux, nous avons sélectionné quelques motos qui méritent le détour. Bien évidemment, ce n’est qu’un échantillon infime parmi toutes les motos « design » qui ont été produites partout dans le monde !

    Ducati XDiavel : la sophistiquée

    Ducati XDiavel

    Cette 1 262 cm3 de Ducati offre une position de conduite inédite pour la marque italienne. Elle doit d’ailleurs son X au croisement des genres, non difficile à percevoir !

    La Ducati allie à la fois un look sportif et agressif sous une attitude de cruiser.

    La XDiavel est dotée d’un gros pneu arrière,  d’une puissance de 156 chevaux et d’une position d’assise réglable en 60 combinaisons possibles ! Le prix de la Ducati XDiavel S : 23 390 € !

    Tout en roue avant avec l’Indian frontier 111

    Indian frontier 111

    L’Indian frontier 111, basée sur une Springfield, est unique en son genre avec son immense roue avant de 26 pouces et ses grosses valises au ras du sol qui se fondent dans la masse. La moto semble vouloir prendre son envol avec ses lignes dynamiques et la hauteur donnée sur l’avant.

    Cette moto hors normes dévoile un moteur de 1811 cm3 dans un esprit bagger. Touche luxueuse du côté de l’assise, la Frontier 111 est agrémentée d’une selle en cuir entièrement surpiquée à la main !

    La futuriste : La Dodge Tomahawk

    Dodge Tomahawk 2

    La Dodge Tomahawk, n’est pas seulement la moto la plus rapide du monde avec sa vitesse de pointe théorique à 675km, elle est aussi la moto la plus chère du monde pour une modique somme de 420 000 € !

    Son design très atypique,  et ses quatre roues qui en font une moto qu’on ne sait qualifier : mi-moto, mi-voiture, mi-monstre ? Bref, c’est le genre de moto qui interpelle et dont on se souvient !

    Ronin 47 : « La moto des samouraïs » !

    ronin-47-1

    Le fabricant d’armes Magpul s’est basé sur la Harley Davidson Buell 1125 afin de concevoir cette Ronin 47, faisant référence aux 47 samouraïs.

    Cette moto cossue, à l’esthétique remarquable, compile un design futuriste et des lignes agressives, le tout dans un look de guerrier. En bref, elle ne laisse personne indifférent !

    Son prix ? 30 000 € pour seulement 47 modèles mis en vente.

    Ambiance électrique avec la Johammer J1 !

    johammer j1

    La Johammer, est une moto entièrement électrique, avec un look très improbable !

    L’assise sur la moto est relativement basse avec une hauteur de 650mm, elle offre deux positions de conduite, les pieds en avant ou bien les pieds en axe avec le buste.

    Ses rétroviseurs ressemblant à deux petites antennes, accueillent un petit écran de 2,4 pouces intégrés dans les miroirs qui affiche la vitesse, l’autonomie et le kilométrage.

    Sa carrosserie tout en courbes, renferme des batteries lithium-ion avec une autonomie de 150 à 200km. Côté prix, il faut débourser 23 000 €.

    Laquelle de ces motos préférez-vous ?

  • Dafy vous offre une tenue cross JT Racing !

    Dafy vous offre une tenue cross JT Racing !

    Dafy, distributeur officiel et exclusif France de la marque JT Racing, vous offre une tenue cross complète de la marque !

    Pour tenter de gagner la tenue composée d’un maillot et d’un pantalon Hyperlite Remix et des gants Lite Slasher, c’est très simple, rdv sur la page Facebook Dafy !

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    Vous avez encore tout le week-end pour jouer, profitez-en !

    Retrouvez toute la collection cross JT Racing 2016 en exclusivité sur notre site dafy-moto.com !

  • [Reportage] Quels tests subissent vos équipements moto ?

    [Reportage] Quels tests subissent vos équipements moto ?

    Nous nous sommes glissés au sein du Laboratoire C.T.C. à Lyon pendant une journée afin de découvrir la batterie de tests qui sont imposés aux fabricants pour que votre équipement moto soit reconnu en tant qu’EPI (Equipement de protection individuelle) et homologué CE. On vous raconte.

    Un petit rappel du contexte réglementaire s’impose : pourquoi les fabricants sont-ils soumis à cette obligation de certification ? Qu’entend-on exactement quand on parle d’EPI ?

    Un EPI est un dispositif destiné à être porté ou tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santé ainsi que sa sécurité. Un décret est entré en vigueur en 2010 pour « la prévention des risques résultant de l’usage des Equipements de Protection Individuelle pour la pratique sportive ou de loisirs ». La pratique de la moto entre donc dans le cadre de ce décret. Ce décret impose aux fabricants d’équipements moto de respecter la Directive européenne 89/686/CEE relatives aux EPI.

    Les équipements moto sont considérés comme une protection contre un risque pouvant entraîner des séquelles permanentes (choc, abrasion, coupure, etc…). La conformité des équipements de moto aux exigences de cette directive européenne nécessite donc une évaluation par un organisme notifié, qui délivre, si la conformité est avérée, une Attestation d’Examen CE qui autorise le marquage CE de l’équipement et sa mise sur le marché européen. Les équipements de moto qui entrent dans le cadre de cette directive européenne sont : les gants, les vêtements (vestes, pantalons, combinaisons), les chaussures, les protections (dorsales, pare-pierre, protections contre les chocs).

    Dafy, en tant que fabricant d’équipement moto avec ses gammes de vêtements All One et DMP, est donc soumis à ces obligations. Depuis 2010, nos équipes de R&D travaillent donc avec acharnement pour faire certifier toutes nos gammes de vêtements. Ainsi, nous sommes allés à la rencontre du personnel des laboratoires de l’un des organismes notifiés avec lequel nous travaillons, le C.T.C., qui nous a gentiment ouvert ses portes. Nous avons pu suivre, étape par étape, l’ensemble des tests réalisés sur nos produits. C’est Olivier, Expert marquage CE au C.T.C., qui nous guide.

    Pour commencer, nous nous rendons dans le laboratoire dit « physique ». Dans cette partie sont testés notamment la résistance à l’abrasion, à la coupure, aux chocs et au déchirement. Des appareils en tout genre, dont nous ne soupçonnions pas même l’existence, recouvrent les établis de la grande salle de travail. Nos chaussures, nos blousons, nos gants ainsi que nos pantalons sont découpés et mis en pièces pour la réalisation des différents tests.

    Le premier test auquel nous assistons est celui  de la résistance à la coupure. Il existe deux types de coupure, qui donne donc lieu à deux tests différents : la coupure par impact (réalisés sur les vêtements) et la coupure par tranchage (pour les gants). Dans le premier cas, nous voyons le technicien tendre une pièce de tissu à l’aide de pinces et de poids afin de la mettre en tension. Une lame affutée est placée au-dessus de la pièce de tissu et lâchée verticalement d’une certaine hauteur. On a à peine le temps de voir la lame tomber ! Impressionnant ! On demande à refaire l’essai, histoire de mieux se préparer pour prendre les photos, mais impossible, même au bout de plusieurs essais ! Le technicien mesure ensuite la pénétration maximale de la lame dans la pièce de tissu. Ce test doit permettre de déterminer la résistance du vêtement face aux risques de perforation/pénétration vis-à-vis d’objets tranchants et perforants.

    Pour la coupure par tranchage, le technicien place la pièce de tissu sous une plaque métallique pourvue d’ajournements. Une lame circulaire passe au travers de ces ajournements et il évalue le nombre de passages nécessaires à la lame pour couper la pièce de tissu. Ce test est réalisé pour les gants uniquement, afin de vérifier leur résistance à la coupure.

    Ensuite, Olivier nous conduit vers un autre poste de test, celui de la résistance à l’abrasion par impact.

    Le technicien nous explique la mise en place de ce test : il place une pièce de cuir prélevée sur l’un de nos blousons sur un support en la faisant passer entre 2 fils de cuivre : l’un passe en-dessous de la pièce, l’autre au-dessus. Il place ensuite le support dans une machine où la pièce de tissu est mise en contact avec une bande de papier abrasif qui défile à vitesse constante. Cela lui permet de mesurer le temps écoulé entre la rupture du premier fil de cuivre, placé dessus, et le second, placé dessous, afin de déterminer le temps nécessaire pour que le tissu soit en situation d’abrasion totale, c’est-à-dire, percé ! Malin ! On se rend bien compte ici de toute l’utilité de porter un équipement adapté en cas de glissade sur le goudron. Vous vous souvenez de la pub télé de la sécurité routière sur le port des gants ? On n’aimerait vraiment pas que nos mains soient en contact direct avec cette bande abrasive…

    Un autre test assez spectaculaire est celui de l’atténuation des chocs. Olivier nous explique qu’il s’agit de tester la résistance des protections aux impacts et chocs : coque phalanges des gants, dorsales, protections épaules et coudes des blousons, genoux pour les pantalons et même les protections des chaussures. Devant nous, il demande au technicien de lancer la machine ! Il place donc la protection genou de l’un de nos pantalons sur une enclume sous laquelle est placé un détecteur. Une masse est lâchée à la verticale sur la protection et le détecteur mesure la force maximale de l’impact. Il en déduit ainsi la capacité de la protection à atténuer l’énergie de l’impact, c’est-à-dire à absorber les chocs. Assez impressionnant à voir lorsque le poids tombe ! On n’aimerait pas être dessous…

    Olivier nous explique ensuite qu’il existe un test pour vérifier le bon maintien des équipements en cas de chute. Ainsi, pour les gants, les manches de blouson et les jambes de pantalon, il s’agit de tester la capacité de l’équipement à rester en place sur les membres de votre corps lors d’une chute ou d’une glissade, et ce afin d’éviter toute exposition de la peau. Pour cela, le technicien chargé de l’essai suspend l’un de nos gants sur un support simulant votre membre (main, bras ou jambe). A l’opposé, il maintient l’équipement avec une pince. Le support remonte et tire sur l’équipement. L’évaluation est visuelle, il ne faut pas que l’équipement glisse du support, ou pire, se détache complètement…

    Nous passons ensuite au test suivant. C’est un test spécifique aux chaussures. Il s’agit de tester la rigidité transversale de la chaussure. Mais késako ? L’objectif est de mesurer la capacité de résistance de la chaussure ou botte à l’écrasement. Vous allez comprendre… On voit le technicien placer notre basket à plat entre deux plateaux, de façon que la semelle touche les 2 plateaux. Le plateau supérieur se déplace et se rapproche du plateau inférieur, exerçant ainsi une compression sur la semelle de la chaussure. Vous avez suivi ?

    Nous changeons de lieu et d’environnement : Olivier nous conduit dans le laboratoire de chimie. Ici, les laborantins vérifient l’innocuité des équipements. Et oui, encore du vocabulaire technique ! Mais je vous rassure, j’étais aussi perdue que vous au début… Je m’explique donc : les laborantins sont chargés d’étudier les matériaux qui composent nos équipements, pour vérifier qu’ils ne soient pas toxiques ou nocifs pour la santé. Pour pouvoir entrer dans le laboratoire, on nous impose le port d’une blouse et de lunettes de protection : pas très chouette le style ! Les tubes à essai, bocaux et flacons en tout genre remplacent les appareils de mesure vus précédemment, dans un environnement aseptisé.

    Deux tests les plus significatifs nous sont présentés : le test du Chrome VI et le test de PH. Le premier est réalisé sur les vêtements en cuir uniquement. Il s’agit de rechercher la présence de Chrome VI dans nos cuirs et de mesurer sa concentration. Le Chrome VI est une molécule issue du mélange de produits chimiques lors du tannage du cuir. Il peut provoquer des réactions allergiques s’il est présent en de trop fortes quantités. Pour cela, la laborantine nous explique comment ils procèdent. Ils découpent le cuir en petits carrés de 5mm sur 5 qu’ils placent ensuite dans des tubes remplis d’une solution d’extraction. Ils placent ensuite ces tubes dans une énorme machine qui tourne sur elle-même et remue les mélanges à un rythme régulier. Une alchimie se créée et au sortir de la machine, il ne reste plus qu’à faire les mesures !

    Le test du PH, quand à lui, sert à mesurer le taux d’acidité que peut révéler la matière (cuir ou textile) au contact de la transpiration. Une acidité trop élevée dégagée pourrait provoquer des allergies ou des problèmes cutanés. Là encore, la laborantine découpe de petits échantillons de matière dans nos vêtements puis les place dans des tubes remplis d’eau pour un essai qui va reproduire les effets de la transpiration. Elle pourra ensuite faire les mesures et contrôles nécessaires.

    Test du ph
    Les échantillons placés dans des flacons d’eau pour le test du Ph

    La visite s’achève après 2 heures d’expérimentation. Un grand merci à Olivier pour son accueil et ses explications et au C.T.C. en général pour nous avoir permis de réaliser ce reportage. On peut également remercier le technicien et la laborantine qui ont dû s’improviser mannequin d’un jour pour notre photographe ! Voilà donc comment sont testés les équipements que vous portez : imaginiez-vous un tel processus ?

  • Le « Made in Italy » bat son plein avec la Diablo Brutale signée MV Agusta et Pirelli

    Le « Made in Italy » bat son plein avec la Diablo Brutale signée MV Agusta et Pirelli

    MV Agusta célèbre son partenariat exclusif depuis 2011 avec la célèbre marque de pneumatique Pirelli et propose la « Diablo Brutale ». Cette dernière est l’occasion pour MV Agusta de rendre hommage aux pneumatiques supersport Pirelli Diablo qui ont déjà fait leurs preuves en compétition. Ainsi, les deux marques italiennes proposent leurs meilleures innovations technologiques dans un ADN très sportif !

    La Brutale 800, au design hors pair, se voit revêtir d’une peinture noire mat accompagnée d’un rouge vif pour l’occasion ! Toujours côté design, nous retrouvons le logo du Diablo Rosso III sur le réservoir et l’éclair, marque de fabrique du pneu, est rappelé à plusieurs reprises sur la Brutale.

    diablo brutale

    Le  Diablo Rosso III de Pirelli, qui combine maniabilité, longévité et une adhérence à toute épreuve, agrémente le design de la Brutale en ajoutant une bande rouge en exclusivité sur le flanc de ses pneumatiques.

    Découvrez la nouvelle Diablo Brutale en vidéo, fruit d’un partenariat réussi !